Footix : la mascotte de 98 qui a marqué toute une génération
- Céline GIRAUDEL
- 2 déc.
- 2 min de lecture
Quand la France prépare la Coupe du Monde 1998, il faut évidemment une mascotte. Pas quelque chose de compliqué : un personnage sympa, facile à reconnaître, et qui donne envie de sourire. C’est comme ça qu’est né Footix, un petit coq bleu avec un grand sourire et un ballon sous l’aile.

Comment il a été choisi
Un designer français, Fabrice Pialot, propose ce coq, et l’idée plaît tout de suite. Simple, clair, très “France”. À l’époque, on demande même au public de choisir le nom. Il y a des milliers de propositions… et c’est “Footix” qui arrive en tête.
Découvrez l'interview de son créateur : https://www.youtube.com/watch?v=aYHg6NU31jQ
L’anecdote qui fait sourire : T'es qu'un footix !
Le plus drôle, c’est que juste après, le mot “footix” devient une expression pour taquiner ceux qui ne connaissent pas vraiment le foot. Une petite vanne qui restera pendant des années. Mais malgré ça, personne n’a jamais remis le nom en question : Footix était là, et tout le monde s’y est attaché.
1998, l’année où tout a explosé
Dès que la France commence à gagner, Footix est partout : dans les pubs, sur les porte-clés, sur les cahiers, dans les chambres d’enfants…Il devient presque aussi emblématique que le maillot bleu. C’est un personnage qui symbolise la fête, la bonne humeur, et l’un des plus beaux moments du sport français.
Et puis, petit à petit…
Après la Coupe du Monde, on le voit moins. La mascotte disparaît des rayons, puis des écrans. Mais les années passent et la nostalgie revient. Aujourd’hui, Footix fait partie de ces icônes pop françaises que tout le monde connaît, même sans être fan de foot.
Conclusion
Footix, c’est un peu comme un vieux copain qu’on n’a pas revu depuis longtemps, mais qu’on reconnaît immédiatement, il rappelle une période où tout le pays vibrait ensemble, sans se poser trop de questions.
Une mascotte simple, joyeuse, qui a accompagné un moment unique.
Et aujourd’hui encore, quand on croise son sourire, on se dit :“Ah oui… 98. Quelle époque.”




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